Licata dispose d'une marina à l'accueil très professionnel et organisé. De nombreux bateaux de toutes nationalités y hivernent.

Si la ville n'a pas un charme fou, elle offre néanmoins d'agréables surprises et a le mérite d'être une bonne base pour partir explorer les alentours en laissant le bateau en toute sécurité.

Nous avons bien sûr repéré, en arrivant par la mer, le cimetière aux nombreux tombeaux imposants ainsi que le château qui domine la ville.

C'est donc parti pour une petite ascension...

En traversant la ville, nous découvrons de très beaux soubassements de balcons.

Passage par un petit musée exposant les trouvailles des plongeurs locaux, et notamment de très belles ancres antiques.

En passant par des venelles, nous apprécions des détails de la vie quotidienne.

Progressivement, nous prenons de la hauteur. La vue est superbe et donne une vision d'ensemble de la ville et de son port.

Nous pouvons même apercevoir Bellisa...

Encore un petit effort et nous arrivons au pied du château !

En redescendant, nous terminons par le port de pêche, moins spectaculaire que celui de Sciacca mais où nous avons toutefois quelques surprises.

Petite question à nos fidèles lecteurs :

Pourquoi cet équipement particulier sur les aussières des bateaux de pêche, amarrés au quai ?...


Retour sur Bellisa, et en traversant une petite place, nous avons la preuve que la musique adoucit les moeurs.

Le monument rend hommage à Rosa Balistreri,  originaire de Licata et surnommée la « Cantatrice du Sud ». Dans ses chansons, elle conte les malheurs mais aussi les beautés et les mystères de l'île aux trois pointes. 

Les chiens du quartier, au pied de la partition, ne s'y sont pas trompés : il doit faire bon vivre à Licata...