Quelques nouvelles du bord :

Si l'an passé, notre moteur était récalcitrant, croisons les doigts, cette année il se comporte bien...

Mais, comme toujours en bateau, surtout lorsque l'on navigue beaucoup, il y a toujours des problèmes à régler !

Très rapidement, nous avons eu des soucis avec le dessalinisateur d'eau de mer avec des fuites intempestives qui nous empêchaient de fabriquer de l'eau douce. Malgré les nombreuses tentatives de réparation, nécessitant maintes contorsions dans la soute, pas de solution à ce jour.

Ayant noté une usure du bout permet de dérouler et d'enrouler notre génois, nous décidons de le changer. Sauf que le démontage de l'enrouleur ne se passe pas comme prévu pour enlever l'ancien bout : impossible de démonter les platines. Après contact téléphonique avec le fabricant, une solution est trouvée et le capitaine se charge de l'appliquer.

Et voilà, un problème de réglé...


Autre souci, depuis notre escale à Naxos, la girouette-anémomètre en tête de mât n'envoie plus d'informations : donc nous ne connaissons plus ni la direction ni la force du vent... Certes, cela ne nous empêche pas de naviguer car nous sommes à même de les estimer mais, tout de même, il est préférable d'avoir des données exactes.

A l'aide de son équipière favorite, le capitaine est hissé en tête de mât et change la pièce endommagée car, heureusement, nous avions une girouette de rechange.

La girouette fautive :

Le chauffe-eau est également récalcitrant cette année : il sert de thermos quand le moteur tourne mais, si on le branche à quai dans un port, il produit de l’eau chaude. Mais voilà, cette année, il disjoncte dès qu’il est relié au quai et ne fonctionne donc pas. Cela ne nous gêne pas trop, donc nous trouverons une solution plus tard.


Un peu de couture, de temps en temps, sur nos protections de pont qui subissent les assauts du vent et de la mer...


D'autres bricolages sont plus ludiques comme les boutures de plantes locales...

... et la réparation de la grande épuisette !